Miroir

Le sombre s’éveille au matin
Être nulle part et personne
Simple excrément jusqu’à la fin
Ma mort comme seuil des tones
Dans la floraison des méthadones
Et que nul ne s’élève enfin
Contre nos sèves
Mort est la fleur de peau
Cette peau qu’on enlève
Quand le souffle rauque comme l’eau
Et que simples vous soyez élève
Quand il est animal voyez l’étranger si haut
Celui qui sait.

25/06/22

 

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