J’emporte les temps
Les adieux,les rideaux
Les moisissures et les barreaux.
D’autres aciers viendront clore
A défaut de scier
De cet enfer noir les rubans
Du décorum le ciel vidé
Les cœurs empalés sur les rivières
Les grandes beautés des fièvres
Qui portent la lumière
A nouvelle aube
Le ventre vivant.
31 janvier 2017 14h04
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