Avoir du chien
Lavoir fatal
La grosse mort
Grace aux vivants
De l’avant nuit
La douleur pluie
Et ployez sous l’oubli
Qu’il emporte blanchis
Au garde manger
Les pinces et canines
Ciseaux de la chair marbrée
Le pelage si noir
D’agneau d’Hadès
Ses grands yeux
Ne s’ouvrent fous
Que sur la terre des dits délivrés
Si nombreux à chaque éclair
Et de nos râles
Ils font des fêtes
D’égarés ,emportés dans les dédales
Sous la terre parking d’éternité.

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