Dans la proximité
D’un instant étincelle
La soudure éclatée
Proche du soleil
Le temps mou qui dévale
Jusqu’au vide qui avale
La pente aux arbres morts
Jusqu’aux sombres volatiles
De brouillard voir le vermeil
Et les chevaux de merveilles
Syncoper les nuages lourds
Aux coupures d’éclairs
Les larmes paraissent
Les longs chemins de pluies
Qui mènent à celui qui luit
Que l’attente qui me fuit
Me fasse sombrer délirante
Au pied de l’arbre des fastes
Aimer chaque étoile qu’il nous reste
Au lit des vastes contrées
De liberté.

1er février 2017 21h04

Tags:

No responses yet

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *