Qu’y a-t-il de perdu au milieu des mers-enceintes?
Les forts teints,bastions pastels.
Qu’ avez vous égaré sinon les aveux mal garés sur des parkings.
Chemins de fer,salle de garde et deux mains de traverses.
Qu’aurions nous vu?
Les étoiles.
Les bons acariens.
Le bonsaï du néant.
Les tombes des fées.
Que dalle!
Les marbrés,souris grises tristes,plates blattes,
pétales, fleur dégrisée du noir
L’Afrique cannibale à deux balles.
Le barillet grillé sous le soleil.
Les grillons lymphatiques.
Les tiques infâmes.
Les femmes à tic.
Automatiques alanguis.
La trique en voiture,panier au plancher,le klakson dans le caleçon.
Remplir.
Être remplie.
Rempiler.
Écrabouiller.
La bouillie des visages.
La soupe des neurones.
Sur l’armoire à pharmacie.
Et le miroir aux girouettes.
Tout tourne même les roux
sur leurs vélos d’Irlande.
Aux clochers des guiness.
Les fesses,les kermesses.
La messe du Caire au bout du fil.
La carne à pêche.
A tombeau couvert.
Pharaon enivré et son peuple d’asservis zébrés.
La savane du gâteau par delà des dunes indivisibles.
Et la foudre pour en découdre les coutures.
Un tissu de délires,la musique morte des cordes.
Les chanvres à air,les sangles dans les recoins,les fers aux chevaux.
La foule des moules,les paniers à regards abandonnés sur les quais.
Tous les bateaux partent toujours trop tard.

16 mars 2014 21h26

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