Le d’égout de soi qu’on déporte dans les décombres,
aux rayons décalés des étoiles d’arrache.
Les chemins d’impossible,les pieds coupés,la langue arrachée.
Les pâtures ainsi jetées aux bâches qui couvent les prés,
les marguerites y font les trois huit et patrouillent.
Ailleurs dans les cubes les incubes,les succubes succombent.
Un transparent de casse couilles,de nouilles et d’abrasions.
La fusion des confusions sur le plateau des vendus.
Les infusions d’été sous la tempête cassante.
La masse écrasante compilée sous le burin des suppliques.
La course à la joie,le maillot de mort enfin mouillé de souillures.
L’épique des porcs épiques,des lubriques,des barriques,
des convois de peur sur des nids de poules.
Le tremblement du soir,le défraiement des chaleurs et les feuilles de déroute.
Le cœur débat très vite,il parle aux vaisseaux,le temps est à l’orage,le vent tourne fou,dévalant les branches.
Devant,le chaos,l’agitation,l’implosion,la fuite des vivants,
blancs comme des arbres déchirés de pluies.

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